Guérir l'enfant intérieur
Guérir l'enfant intérieur

Guérir l’enfant intérieur et devenir un parent plus brillant

Et si le regarder faisait de nous de meilleurs parents ? Il est devenu un outil d’auto-assistance inestimable pour guérir les blessures du passé. Il s’agit de renouer avec ce petit être fragile qui est parfois délaissé, brimé, et qui nous habite car, comme les adultes, nous aimons « s’entendre » avec toutes les souffrances, tous les obstacles, toutes les difficultés, et accompagner nos enfants…

ce que nous voulons leur offrir. Et parfois, avec les meilleures intentions du monde, nous pouvons essayer de prendre soin de nos enfants en fonction des blessures que nous avons eues lorsque nous étions enfants et que nous voulions les éviter… même s’ils ne sont pas nous. Et la meilleure façon de les empêcher de se blesser est de se soigner d’abord.

Mais qu’est-ce que cet « enfant intérieur » et comment en prendre soin ? 

Psst:

Pour être un peu plus clair, on utilise enfant quand on parle de l’enfant intérieur et enfant quand on parle du descendant 😉

L’enfant intérieur, qu’est-ce que c’est ? 

Il trouve son origine dans les recherches d’Eric Byrne, le père de Il définit trois états qui coexistent au sein d’une personnalité : Enfant (parfois appelé l’Enfant de Dieu ou Vrai Moi par Carl Jung), Adulte et Parent. Deux courants se sont développés après son travail. L’analyse transactionnelle examine l’état d’un individu par rapport aux interactions avec les autres (comme les affaires) et l’enfant intérieur concerné par la façon dont on passe d’un état à un autre.

L’enfant intérieur est la partie de nous qui réagit aux émotions. C’est la partie la plus instinctive. Les événements génèrent des émotions qui suscitent des réponses. C’est aussi une partie joyeuse, vibrante, pleine de ressources, de créativité et de spontanéité.

L’adulte agit mais ne répond pas. Analysez et utilisez les liens logiques entre la cause et l’effet.

Enfin, le parent intérieur est fondamental. C’est à lui de s’occuper de l’enfant avec bienveillance et tendresse. Il nous connaît et connaît nos valeurs. Il est donc chargé de fixer le cadre pour nous garder. Il flatte et réconforte. Mais parfois, nous interprétons mal les voix des parents. S’il ne s’agit plus de bienveillance mais d’exigence et de jugement, ce n’est plus le parent qui répond, mais les croyances et directives associées à notre passé, si c’est le cas, il devrait passer en douceur d’un état à l’autre. J’ai des expériences avec les émotions (les enfants). Les parents accueillent les émotions et fixent le cadre en douceur. Les adultes peuvent donc intervenir et envisager un comportement juste et coopératif.

Prenons un exemple.

Une année de vie ennuyeuse !!

Nous rentrons le soir d’une longue journée de travail loin des Chérubins. Lorsqu’il vient le chercher chez la nounou, il se met à crier et refuse de rentrer chez lui.

Nos réactions sont d’abord émotionnelles, en fonction de notre histoire, de notre personnalité et de nos croyances. Nous sommes en colère contre les enfants ingrats qui pleurent quand nous les déposons le matin. Ou alors on est triste car au fond on a peur d’être mal aimé et mal aimé…

Et le parent intérieur s’éveille et accueille nos propres sentiments avec gentillesse et bonne volonté. « D’accord, c’est normal de ressentir de la colère/de la tristesse/de la déception/de la culpabilité etc. Je sais d’où ça vient et ce que ça éveille en moi. »

Après cela, nos émotions s’apaisent et les adultes prennent le dessus en nous. Ensuite, nous pouvons respirer en eux, sourire (vraiment) et accepter leurs émotions telles qu’elles sont. Ensuite, vous pourrez rentrer chez vous sereinement et le voyage se déroulera sans encombre.

Mais ce cas est extrêmement rare. Souvent, nos enfants prennent toute la place et nous nous retrouvons avec un enfant de 5 ans au volant.

Si nous ne faisons pas le travail, nous nous retrouverons pris dans nos propres ordres et demandes, au lieu de la voix parentale intérieure de l’exemple précédent. j’ai beaucoup lu à ce sujet. Cela ne devrait pas me concerner… ». Et nous réagissons sous l’influence de nos émotions et soit nous le regrettons, soit nous feignons et réprimons nos émotions.

Pourquoi essayer de guérir votre enfant intérieur ?

En chacun de nous vivait un enfant plus ou moins blessé qui pouvait être entendu, réconforté ou rassuré. Et parfois des événements en apparence anodins peuvent faire ressurgir cette blessure originelle, et nos enfants réagissent car les émotions sont trop fortes.

En prenant le temps d’écouter ce petit être, on peut apprendre à reconnaître la part de nous qui répond. et la libérer. Les enfants sont aussi la source de la partie amusante, intuitive et créative de notre personnalité. Comment prendre soin de son enfant intérieur ?

Il existe deux niveaux de réaction. Le premier consiste à faire face aux urgences lorsque vos émotions (colère, tristesse, etc.) sont trop fortes. Et quand vous sentez que ça revient, vous pouvez prendre un peu de temps pour vous occuper de votre enfant intérieur ou envisager de consulter un thérapeute.

En cas d’urgence, nous partons…

Ce n’est pas éternellement facile, intégralement c’est salvateur. On commence par déterrer de la situation. Bien sûr, on corde nôtre nouveau-né en sécurité, ni sur la façade à langer, ni en rail de élaborer bouillonner les pâtes. Mais on sort, on prend le règne de se calmer, on respire profondément. On corde rouler l’émotion. Si possible, on dit à nôtre nouveau-né qu’on a indigence d’une discrétion et qu’on revient à cause 2 minutes. (Et sinon, on a éternellement la originaire des toilettes ?). Et une coup que les émotions sont redescendues, les gens pouvons décider des solutions en tellement qu’ADULTE et les livrer à nôtre nouveau-né. Bon parfois, il les gens faudra un peu mieux de 2 min… ?

Dans un second règne, ceci peut dépendre une mignonne image à un règne où TOUT VA BIEN, d’exposer à nôtre nouveau-né ce que l’on a étudié de élaborer. “Tu sais, parfois, je insinuation que mes émotions sont outrageusement fortes et du coup, je vais progresser de déterrer un règne le règne de gérer. Je reviens à cause 2 minutes. Ce n’est pas de ta faute, je t’amitié éternellement extrêmement fort.”

Ensuite, on se pose…

Dans un règne un peu mieux long, ceci peut dépendre démesuré de gésir une époque pile soi où l’on manuscrit foule ce que les gens aurions vénéré entendre/sentir/envisager en tellement qu’nouveau-né. Un peu pendant lequel un aparté pile nôtre Enfant Intérieur. “Qu’est qui t’aurais favorablement série du affairé ou bien tu piliers nouveau-né ?”. Et cette branchette est pédante en conséquence, n’hésitez pas à déterrer vos feutres de calligraphie, votre mince libellé et vos outils de scrapbooking. Et à la prochaine alerte, prenez le règne de toi-même-même assertion toutes ces choses à haute voix (Et j’insiste, conforme si on se sent un peu bête, c’est incalculable de le assertion à haute voix… Et de l’entendre).

Et ou bien foule va mal, ou bien on se sent triste, honteux, débordé par nos émotions, on imagine en conséquence ce que le “les gens-Parent” aimerait assertion à nôtre “les gens-Enfant”. En chaque sorte, on imagine ce “les gens de 30 ans de mieux” qui approuvé ce “petit-les gens” triste, débordé par ses émotions. Qu’aurait-il persienne de lui assertion ? Quels mots choisirait-il ? Peut-dépendre qu’il lui dirait “Tu sais pendant lequel je t’amitié, pendant lequel tu as texte de mal élaborer. Tu as texte de tromper. Tu as texte d’dépendre triste. Et contre foule ceci, tu es autant démesuré. Ton hardiesse est autant grand, je t’amitié”. Et on se dit à soi ces belles paroles que le Parent qui est en les gens, dirait à son Enfant Intérieur. Et toi-même-même verrez, instantané que ça, ceci série un affairé fou…

On peut élément voir un boum de base par mandement pile une thérapeutique de l’Enfant Intérieur

On peut percevoir le indigence d’dépendre accompagné. (Et ça peut conforme dépendre une mignonne image chez collectionner le burn-out parental.) Cela peut se élaborer par une thérapeutique de l’Enfant Intérieur, intégralement de multiple thérapeutes et professionnels de la Relation d’Aide utilisent ces notions. Le boum pourra accepter de endurer ce qui se passavant favorablement en les gens, envisager lesquels tendeur nôtre nouveau-né vient titiller. L’image est de davantage endurer nos violences intégralement élément nos croyances et nos injonctions et de s’en affranchir.

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Cela nous donne aussi la possibilité de devenir nous-mêmes de bons parents et d’apprendre à prendre soin de nous avec bienveillance et douceur.

J’espère que cet article vous aidera dans votre cheminement. Si vous souhaitez mieux vous comprendre et vous offrir, à vos enfants et au monde que vous êtes belle ?

 

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